Lorsque j’ai décidé d’aller à Cuba en février 2002, il m’a paru essentiel de rencontrer des personnes à Paris qui connaissaient ce pays, cubain ou pas. C’est ce que je fais quand je veux me rendre quelque part. Je m’arrange parce que je ne veux pas que les hôtels soient la seule possibilité. C’est une question d’argent mais pas seulement. Pouvoir compter compter sur un accueil change la vision de l’arrivée dans un pays que l’on ne connaît pas. Il y a pourtant des pays où je me suis rendu sans avoir d’adresses précises et sans que cela me pose de problème…Lire la suite